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Assèchement du rejet

          Avant de pouvoir brûler les rejets et en tirer de l’énergie, il faut d’abord sécher les rejets afin de se débarrasser de toute l’humidité et donc, d’optimiser le rendement énergétique de la combustion des rejets.

Ainsi, nous avons pris la masse des rejets de distillations et celle-ci équivaut à près de 900g. Nous avons aussi constaté que le volume total du rejet est d’environ 900mL, ce qui veut dire que la concentration de la solution est de 1 g/mL.

 

          Pour sécher le rejet de distillation, nous avons décidé de le faire de deux manières: la première est par le biais d’un four solaire, ce qui ne consomme pas d’électricité. Ce moyen serait favorable afin de ne pas consommer d’énergie et donc de rester dans la logique d’un cycle de production énergétique renouvelable. Pour réaliser cela, nous avons placé un récipient en aluminium contenant le rejet sous un bac de couleur noire (pour mieux absorber les rayons solaires) en le laissant entrouvert, afin de laisser l’air circuler. Nous avons aussi régulièrement touillé la solution.

 

          Par contre, nous avons aussi utilisé un four électrique afin de s’assurer que nous pourrons passer à l’étape de la calorimétrie. Ainsi, nous avons obtenu 33,2 g de rejet séché dans le four solaire et 30,28g dans le four électrique. Étant donné que notre rejet séché dans le four solaire paraissait toujours un peu humide et donc peu adapté à la combustion, nous avons décidé de l'utiliser directement en tant qu’engrais, afin de montrer qu’il est aussi possible de l'utiliser comme engrais pour les pousses de pommes de terre, sachant qu’il est biodégradable.

 

Rejet séché dans le four électrique

Four solaire utilisé pour sécher une partie du rejet

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